La synthèse des enjeux locaux étudiés (humains, environnementaux et techniques) permettent de définir une implantation pour un parc éolien intégré au territoire d’accueil.
La zone d’implantation potentielle est d’abord identifiée en respectant un premier critère reglémentaire imposant une distance minimale aux habitations de 500 mètres.
Sur la carte ci-contre, la zone d’implantation potentielle située sur la commune de Vaux-Villaine.
La zone étudiée est soumise à 3 servitudes à intégrer dans la définition du projet :
Pour assurer la meilleure protection des espèces présentes sur le site nous faisons réaliser des inventaires écologiques sur une année (4 saisons) conformément au protocole exigé par la DREAL (service de l’Etat). Cette étude est réalisée par des spécialistes indépendants du bureau d’études AEPE Gingko et de l’association Naturagora, sur place lors de nombreuses visites d’observation. Elle porte sur :
La connaissance des enjeux pour la faune et la flore est essentielle dans la définition de l’implantation respectueuse de l’environnement.
L’analyse paysagère et patrimoniale est réalisée conformément au Guide relatif à l’élaboraction des études d’impacts des projets de parcs éoliens terrestre de 2016. Elle s’effectue à différentes échelles, correspondant à trois aires d’étude :
La dernière révision du projet modifiant à la marge les photomontages, ils seront disponibles lors de l’enquête publique pendant la phase d’instruction.
À proximité de la zone d’études, nous pouvons déjà identifier plusieurs éléments à prendre en compte dans l’intégration paysagère des éoliennes :
L’ensemble des données collectées (habitations, faune, flore, réseaux, accès, paysage …) ont conduit à retenir une implantation à 6 éoliennes, de puissance unitaire 3,6 MW.